Etude exclusive sur les krachs et les rebonds boursiers
[social_share style="square" align="horizontal" heading_align="inline" text="" heading="" facebook="1" twitter="1" google_plus="0" linkedin="1" pinterest="0" link="" /]Marchés Gagnants a analysé plus de 8000 données sur plus de 30 ans d'histoire boursière. Conclusion : il faut savoir garder son calme en période de stress... Il y a moins de 5 % de probabilité de perdre plus de 39 % pour un portefeuille diversifié sur un an. Tel est le credo de Marchés Gagnants. Nous l’avons vérifié sur plus de 30 ans d’histoire du CAC 40, le 9 mars dernier. Presque deux semaines plus tard, nous affinons pour tenir compte d’un élément majeur : le comportement des épargnants. Notre méthodologie repose sur un principe : il ne faut pas regarder le marché trop souvent. Histoire de s’éviter des haut-le-cœur inutiles. Seulement, de temps en temps, les médias vous contraignent à regarder la Bourse. D’ordinaire, il serait possible de définir ce phénomène comme l’effet « 20 heures ». Les journaux télévisés sont le royaume des trains qui n’arrivent pas à l’heure. Quand la Bourse monte, vous êtes assurés de ne pas avoir l’info sur votre télé. Sauf en fin d’année, à l’heure des traditionnels bilans. En revanche, quand le marché chute, l’information vous arrive plus vite. D’ordinaire ! Car, cette fois, confronté à la crise du coronavirus – et du confinement – les journaux ont levé le pied depuis dix jours sur la chute des marchés. L'effet "20 heures", ou le stress imprévu de l'investisseur Quelle que que soit la source de l’information, cette dernière génère logiquement un stress sur l’investisseur. Au risque…