Impôt de Bourse 2016 : Amundi et Bénéteau dans le même bateau
[social_share style="square" align="horizontal" heading_align="inline" text="" heading="" facebook="1" twitter="1" google_plus="1" linkedin="1" pinterest="1" link="" /]Version moderne de l’impôt de bourse, la taxe française sur les transactions financières s’applique depuis août 2012. Le point sur les changements applicables en 2016. Cette taxe sur les transactions financières de 0,20 % vise uniquement les achats de grandes valeurs cotées en Bourse. Avec une définition très précise de la grande valeur française ! Sont considérées comme telles les entreprises dont le siège social est situé en France et dont le poids boursier excède un milliard d'euros au 1er décembre précédant l'année d'imposition. Tous les ans, la liste change donc ! Et pour 2016, le nombre de titres éligibles croit légèrement pour passer de 134 à 136, effet de la hausse des cours mais aussi de la cotation de nouveaux groupes à la bourse. Sept sociétés prennent malgré tout la porte de la liste… pour le plus grand bonheur de leurs actionnaires futurs ! Tel est le cas de Bourbon (Pétrole et Gaz / Equipements et services pétroliers), CGG (Pétrole et Gaz / Equipements et services pétroliers), Eramet (Matériaux de base / Métaux non ferreux), Ipsos (Médias / Agence de médias), Neopost (Technologie / Equipement de bureaux électroniques), Rallye (Service aux consommateurs / Distributeurs diversifiés) et Financière Moncey (Financières / Instruments de placement en actions). A noter, cette dernière a fait un aller-retour, pour avoir été incluse dans la liste de valeurs taxées en 2015 puis sortie un an plus tard. 10 nouvelles venues ! Côté entrée, Amundi (Financières / Gestionnaires d’actifs) côtoie Bénéteau…